)Yolanda Hadid est née en 1964 en Hollande, près de Rotterdam et vit aux États-Unis. Maman de 3 enfants, ancien mannequin, connue aussi pour sa participation à l’émission de télé-réalité « The Real Housewives of Bewerly Hills »… et lymée. Yolanda Hadid nous livre sa bataille dans son livre témoignage, disponible en anglais : « Believe me. My Battle with the Invisible Disability of Lyme Disease » (Croyez-moi. Ma bataille contre le handicap invisible de la maladie de Lyme).
Jonglant avec des douleurs souvent terribles, Yolanda raconte sa vie de « people », sa vie de famille et sa vie de malade qui fait tout pour aller mieux. Le livre est agréable à lire et à la fois dur : on a une grande empathie pour elle, et souvent je me suis retrouvée dans ses douleurs ou celles de ses enfants (dont deux souffrent aussi de cette maladie possiblement suite à une transmission materno-fœtale). Bon.. quand elle raconte ses sorties, sa vie américaine, ses « problèmes de star », il est forcément plus léger !
Yolanda Hadid a la chance de pouvoir essayer de nombreux traitements qu’elle explique très bien et qui m’ont ouvert des pistes de recherches, notamment sur les moyens de detox, les traitements avec des cellules souches, le protocole du Dr Klinghardt… En revanche, j’ai parfois eu l’impression qu’elle abandonnait « vite » telle ou telle thérapie pour passer à une autre encore. C’est un sentiment tout à fait personnel : quand on peut avoir accès à plusieurs solutions différentes qui semblent bonnes, on « butine » un peu partout mais est-ce la bonne méthode pour se soigner ? Ne faut-il pas se concentrer sur un ou deux traitements complémentaires sur le long terme ? Question ouverte… je n’ai pas la réponse.
Yolanda Hadid fait preuve d’une grande force intérieure et rappelle qu’il y a toujours quelqu’un qui a une bataille plus dure que la sienne à livrer… pour se/nous donner du courage !
Une phrase de son livre résonne encore très fort en moi : « You don’t get it until you get it » que l’on pourrait traduire par « Tu ne comprends pas tant que tu ne l’as pas ». C’est si vrai, et c’est une des bases de notre croisade de lymé. J’ai tellement souvent eu envie de pouvoir « prêter mon corps et mes sensations » quelques minutes aux personnes qui ne me comprenaient pas, qui ne me croyaient pas. Yolanda Hadid est très investie pour porter la voix des Lymés auprès des associations américaines de malades de Lyme et est allée aussi communiquer sur la maladie de Lyme dans son pays natal, la Hollande.
Hadid J., Believe Me: My Battle with the Invisible Disability of Lyme Disease, New York, St. Martin’s Press, 2018
Hadid J., Hoor me : De strijd tegen de onzichtbare symptomen van Lyme, Pays-Bas, Pepper Books, 2018
bonjour, depuis le temps que l’on connait les différents vecteurs, comment se fait-il que nous parlions encore uniquement de tiques ? je m’explique : j’ai attrapé la borréliose en 2006 au lac de paladru par piqûre de tique mais ce n’était pas une nymphe… elle est resté environs 6h sur mon ventre.. quelques jours après j’ai fait une fièvre pas très forte, puis un érythème, il était beau !! j’avais 27 ans et suis tombée amoureuse d’un homme, et après quelques mois de relation, il a fait une fièvre Q aigue qui l’a emmené à l’hopital de briançon où ils se sont demandés comment c’était possible car l’épidémie de fièvre q qui avait eu lieu dans le coin quelques année auparavent a été erradiquée (par le Pr Raoult lui-même pour l’anecdote). Bref, puis commencèrent une série de petits problèmes de santé et d’année en année, son cerveau et sa cogite qui étaient très au point se dégradent, il faut être attentif pour le remarquer, nous avons fait un enfant et j’ai été malade toute ma grossesse mais je pense que ma fille n’est pas née avec, elle était très intelligente jusqu’à ses 5 ans 1/2 juste après une série de piqûres de punaise de lit, une seule punaise qui nous a mené la vie dure pendant 1 mois, elle ne piquait que tia et moi en alternance… Tia m’a demandé ce qu’était la tâche rouge qu’elle présentait sur le ventre, c’était également une très belle cible mais je n’ai pas réagi, je ne savais pas encore, la petite a également eu cet épisode de fièvre, je me susi séparée du papa car ça criait tout le temps à la maison, je faisais des crises de nerfs pour un rien. J’ai rencontré le second père de ma seconde fille, lui, a été dans le même état fiévreux que moi, 1 mois après notre rencontre, je pense que c’était dû à ma charge qui augmentait… 2 ans plus tard, notre fille éva naissait. Eva, au fur et à mesure présentait des signes « bizarres », le mot qui revient tout le temps, lorsqu’elle s’est mise à marcher, elle le faisait sur la pointe de pieds, les poings en l’air et la langue dehors, mais je ne m’inquiétais pas plus que ça tant qu’elle avait de la vie en elle. Sa piqûre de rappel du ROR me l’a retirée, dès le lendemain elle était sans vie, elle qui gazouillait la veille, je pouvais la laisser au milieu de ses jouets le matin et la retrouver dans la même position le soir, plus rien, silence radio…. heureusement, après être tombée profondément dans alzheimer, j’ai rencontré mon médecin nyonsais qui nous a littéralement remises sur pieds toutes les 3. mais c’est le plus gros scandale sanitaire au monde !!! ils veulent rendre les populations sous-intelligents car je n’ai toujours pas récupéré toutes les capacités qu’offraient mon cerveau même après 5 années de bi-antibiothérapies pulsées qui sont quand même magiques, peut-être est-ce la candidose ? Mais voilà, je reviens de l’enfer, pour tout raconter, je devrais également écrire un livre, ici je ne fais que parler des modes de contamination observés qui sont sexuels, inutéro et par piqûres d’insectes hématophages… il serait grand temps de trouver LE traitement car pour moi, une vaccination serait une énorme erreur pour lyme, il ne faut surtout pas vacciner un lymé. le lymerix a été retiré du marché en 2002 à cause de 750000 plaintes, la borrélia se déplace 2 fois plus vite que la plus rapide de nos cellules tueuses. mais pourquoi rien sur les modes de transmission ? l’humanité est dans une très sombre période, en espérant que ça ne tourne pas au vinaigre.. habitant à la frontière italienne, je confirme avoir eu le covid et tous ses symptômes, il y a juste une chose que j’ai trouvé bizarre, c’était comme une course poursuite dans mon corps, j’ai l’impression que le covid m’a aidée car du coup j’ai effectué ma cure d’antibios juste derrère, s’en est suivi 3 semaines de fatigue et un bon pallier gravit niveau neurologique…j’espère que les scientifiques qui travaillent dessus dans l’ombre trouveront le remède et le test rapidement.